Sommaire et edito - 2011
Bulletin 213
2011-03-15
213 : "La musique à lécole, la cacophonie ?" - 1er trimestre 2011
EDITORIAL
Chers collègues, bonjour à tous
« La musique à l’école, la cacophonie ! »… Je suis restée sans voix, entre la déception, l’incompréhension, et la colère. Alors, permettez-moi de vous remercier et de vous dire « bravo et félicitations » à vous les « hussards de la République » vous qui avez pris votre plume et avez réagi à cet article et à ses illustrations humiliantes pourtant publiés dans un hebdomadaire artistique qui a la réputation d’être sérieux ! Les clichés ont la vie dure j’aurais plutôt dit les clichés mais quand on prétend être journaliste et mener une enquête de terrain, on ne se limite pas à recueillir et généraliser des cas particuliers, c’est une déformation de la réalité et une manipulation du lecteur non informé !
L’éducation musicale, en France, même si elle est réduite à une portion congrue de l’enseignement général et obligatoire au collège, a le mérite d’exister sur tout le territoire, à raison d’une heure par semaine pour tous les élèves, avec des enseignants investis et motivés qui sont les premiers à remettre en question leurs pratiques pour être au plus près des nouveaux programmes, de l’histoire des arts et de l’appréhension du socle commun des compétences, alors continuons à nous serrer les coudes et restons toujours vigilants !
Dans ce bulletin, l’APÉMu vous informe sur la fragilisation de l’enseignement de l’éducation musicale dans la formation des professeurs des écoles et sur ses conséquences. Ce qui se passe à l’école primaire nous concerne tous, réagissons avant que l’éducation musicale ne disparaisse des options du concours de professeurs des écoles et de leur formation,ce qui serait « un véritable cauchemar » !
Suite au courrier envoyé en décembre, l’APÉMu est reçue au ministère et je mettrai toute mon énergie à essayer de convaincre nos dirigeants du bien fondé du chant choral au collège, effectué dans de bonnes conditions.Je souhaite rappeler à notre ministre que cette pratique est spécifiée dans les nouveaux programmes et qu’elle permet d’évaluer de façon pertinente de nombreuses compétences du socle, si fondamentales à la formation du futur citoyen !
Et qui sait… peut être qu’un jour « sur la partition ministérielle la musique aura retrouvé tout son éclat » !
La présidente,
Yolande Barbier-Ceresuela
Dossier spécial "équipement"
L'équipement audio de la salle d'éducation musicale (Franck Jouanny)
L'équipement "TICES" (Christophe Prybylski)
Les percussions (Fabrice Guerre)
Chaises - Tables - Chaises à tablettes ? (Anne-Claire Scebalt)
Education Musicale :
Europe : que font nos voisins ? (Marie-Françoise Quinet)
Education musicale à l'école : un impensable recul (Sylvie Joud)
HDA mon amour ! (Pascale Goday-Ramos)
Séquence : Vous avez dit baroque ? (Hélène Wagner)
Vie de l'association :
Congrès de Toulouse : "Improviser autrement ?" : présentation
Bulletin d'adhésion, Bulletin d'abonnement, Publications
Membres du conseil d'administration, du bureau
Délégués académiques
Bulletin 214
2011-06-15
214 : "En route vers l'improvisation !" - 2ème trimestre 2011
EDITORIAL
Chers collègues, bonjour à tous,
Je commencerai cet éditorial en remerciant les adhérents qui s’investissent pour faire vivre notre bulletin.
Comme vous le découvrirez tout au long des articles, ce bulletin estival réserve une large place à l’improvisation, thème du prochain congrès de l’APÉMu qui se tiendra à Toulouse en Octobre. Oui, notre association maintient l’organisation de congrès thématiques malgré la diminution voire la suppression des subventions. Je salue les efforts et la motivation de toute l’équipe qui s’est impliquée dans la réalisation de cet événement auquel je vous invite à assister nombreux !
Le brevet 2011 a acté l’épreuve d’histoire des arts pour tous les collégiens. Cette épreuve a pris des formes très diverses dans son contenu et son organisation en fonction des académies et des établissements, révélant des réussites et des dysfonctionnements Il faut tout de même souligner l’implication des professeurs d’éducation musicale dans cette opération.
La note de rentrée publiée au BO (Cf. page 26) insiste sur l’importance du chant choral. C’est une bonne chose pour nous à condition que les heures affectées à ces pratiques collectives soient attribuées aux enseignants concernés ; or, dans de nombreuses académies ce n’est pas le cas, les aléas sont nombreux. L’APÉMu a été reçue au ministère pour essayer de sensibiliser nos décideurs sur la fragilisation de l’existence des chorales en collège. Nous continuerons à défendre ce dossier !
En ce qui concerne le lycée, nous devrons toujours nous mobiliser pour une prise en compte réelle de la musique, non pas comme une option facile à préparer en dehors de ses murs, mais comme une véritable option, ouverte à toutes les séries et évaluée en fin de cursus sur le travail accompli en cours.
La réforme de la formation des maîtres s’est mise en place. Beaucoup d’entre vous m’ont fait part des difficultés de nos jeunes collègues, lancés « dans l’arène » avec 18 classes, 520 élèves, 4 niveaux à gérer !!! Avec, certes, l’aide d’un professeur tuteur mais occupé lui aussi par 18 classes, 520 élèves et 4 niveaux !!! Cette situation est révoltante et doit changer !!! Il faut aider ces jeunes à appréhender notre métier avec plus de sérénité. Nous pouvons les accompagner au quotidien, dans notre établissement mais nous devons surtout les défendre et les soutenir en nous engageant pour une formation plus digne. Enseigner s’apprend avec du temps, celui de la découverte, celui de la réflexion, celui de la construction L’APÉMu restera mobilisée sur la défense de la formation des maîtres ainsi que celle des concours de recrutement des enseignants ! Continuons à communiquer autour de nous sur notre association et restons vigilants et mobilisés !
Bonnes vacances à tous !
La présidente
Yolande Barbier-Ceresuéla
Dossier spécial improvisation :
Improvisation libre et/ou dirigée
La danse contact improvisation (Aline Lecler)
Comment l'improvisation a changé ma vie ? (Hélène Wagner)
Le match d'improvisation théâtrale (Jean-Baptiste Chauvin)
De la lecture pour les vacances :
Les textes de référence sur la chorale
Melpomène et ... Dionysos (Annie Levêque)
Programmes du baccalauréat 2012
Bibliographie de plage
Vie de l'association :
Congrès de Toulouse : "Improviser autrement ?" : programme, présentation des ateliers et des intervenants, inscriptions
Compte-rendu de l'entrevue au ministère du 23/03/2011 au sujet des chorales
Les 1000 raisons d'adhérer à l'APEMu
Bulletin d'adhésion, Bulletin d'abonnement, Publications
Membres du conseil d'administration, du bureau
Délégués académiques
Bulletin 215
2011-09-15
215 : "Enfin !" - 3ème trimestre 2011
EDITORIAL
Chers collègues, bonjour à tous
Tout d’abord, je vous souhaite à tous une très bonne année scolaire.
« A l’école, au collège puis au lycée, la chorale prolonge l’éducation musicale et permet d’en approfondir certains objectifs. Ouverte sans exigence de pré requis, la chorale contribue à l’intégration des élèves et peut être un élément structurant de la dimension artistique du projet d’établissement ».
Citer le B.O. pour commencer un éditorial n’est pas dans mes habitudes, mais je vous invite à prendre connaissance de ce texte adressé aux recteurs et inspecteurs d’académie. On y apprend que la chorale contribue « à structurer la personnalité de l’élève », le ministère y reconnaît l’exigence d’un projet artistique de chant choral et détaille les conditions de sa mise en œuvre dans le cadre du projet d’établissement et sous la responsabilité du professeur d’éducation musicale, quant aux horaires « la quotité horaire de référence pour la prise en charge d’une chorale en collège ou au lycée reste de deux heures/semaine ».
La reconnaissance des pratiques collectives a toujours été pour l’APÉMu une des priorités. Reçus au ministère en mai dernier, nous avions alerté nos décideurs sur la fragilité du statut des chorales dans notre pays et demandé à ce qu’un texte mentionne clairement le bien fondé de la pratique chorale à l’école, au collège et au lycée. La circulaire nationale de rentrée mettait déjà en exergue le chant choral, cette parution au BO vient l’officialiser dans nos missions et nos pratiques. C’est une petite victoire pour notre association !
Mais beaucoup de combats sont encore à mener et de défis à relever ! En particulier pour la formation de nos jeunes collègues qui sont « jetés » cette année « dans l’arène » avec 18 classes et juste une petite semaine de formation avant la rentrée, avec un rapide « kit de survie » ! Nous devons en tant qu’adhérents nous rapprocher de nos jeunes collègues, les informer sur l’existence et le bien fondé de notre association en les invitants à lire ce n° 215 qui contient des articles à leur attention ! Le nombre de candidats au Capes 2011 était réduit cette année mais le nombre de reçus est alarmant pour nous ! 120 postes étaient à pourvoir, le concours n’a retenu que 72 personnes ! Certes il faut un niveau pour être enseignant d’éducation musicale mais plus de 40 postes non pourvus, n’est ce pas plus catastrophique pour nos élèves ? Je reste interloquée face à ces résultats !
Je finirai cet éditorial en vous invitant à venir à Toulouse pour le futur congrès de l’APÉMu.
Organisé tous les deux ou trois ans, un congrès réunit professeurs d’Éducation Musicale et autres professionnels intéressés par les sujets abordés. Débats, réflexions, expériences alimentent et favorisent l’évolution de nos pratiques à travers des thèmes essentiels.
Le prochain aura pour thème l’improvisation dite libre. Lors de ce congrès, nous conjuguerons réflexion et pratique par le biais de conférences et d’ateliers. Merci à toute l’équipe de collègues qui préparent ce congrès, leur énergie et leur motivation sont un moteur pour l’association ! Je l’ai toujours affirmé : l’APÉMu doit continuer à être une force de réflexion et de proposition pour l’enseignement de l’éducation musicale !
En Octobre, tous à Toulouse, je compte sur vous!
La présidente
Yolande Barbier-Ceresuela
Actualités :
120 postes ... (Fernando Segui)
Au fil de mes rentrées (Renata Harbulot)
Le BO que nous attendions tous (Anne-Claire Scebalt)
CCF eu BCG ? (Patrice Latour)
Dossier : petit kit de survie ...
Quelques rythmiques d'accompagnement pour le clavier (Isabelle Bretaudeau)
Accompagnement au piano : parcours d'un clarinetiste (Francis Harbulot)
Echauffement vocal (Damien Guédon)
Séquence : "Si j'étais une boîte à musique" (Anne-Claire Scebalt)
Vie de l'association :
Congrès de Toulouse : "Improviser autrement ?" : renseignements, inscription
AG et CA : ordre du jour, modalités, pouvoir
Bulletin d'adhésion, Bulletin d'abonnement, Publications
Membres du conseil d'administration, du bureau
Délégués académiques
Bulletin 216
2011-12-15
216 : 4ème trimestre 2011
EDITORIAL
Chers collègues, bonjour à tous,
L’assemblée générale de 2011 coïncide cette année avec l’ouverture du 31ème congrès de l’APÉMu qui a pour thème « Improviser autrement ». Encore un congrès passionnant où débats, ateliers conférences, expériences vont alimenter et favoriser, j’en suis persuadée, l’évolution de nos pratiques. Réfléchir et proposer sont des objectifs importants pour notre association et l’organisation de tels congrès montre que l’APÉMu se mobilise et reste dynamique. Je voulais vraiment débuter ce rapport moral en remerciant toute l’équipe de Toulouse qui s’est investie pour le bon déroulement de cet évènement. Organiser un congrès, au vu du contexte actuel, relève de l’exploit pour notre association et ses membres. L’absence de subventions depuis cinq ans pour de telles manifestations et l’association elle-même nous oblige à réaliser des budgets très serrés tout en comptant sur la participation d’un grand nombre de congressistes. Je suis inquiète pour les congrès à venir car les comptes de l’APÉMu ne sont pas extensibles et ce genre de manifestation, essentielle à la réflexion sur l’éducation musicale et à l’image de notre association a un coût ! Pourra-t-on toujours l’assumer ? Je l’espère !
Lors de mon dernier rapport moral, je vous faisais part de mes préoccupations pour le devenir des options facultatives en lycée et l’implantation un peu aléatoire et discrète de l’enseignement d’exploration « arts du son ». Un courrier envoyé au ministre l’année dernière est toujours sans réponse et la situation au lycée ne s’améliore pas. L’option facultative est toujours aussi peu proposée dans les lycées de France et pourtant choisie au baccalauréat par de nombreux élèves.
En Aquitaine par exemple la situation est ubuesque, plus de 70% des candidats qui la présentent au baccalauréat sont des candidats libres ! Pourquoi la musique est traitée avec un tel autisme par notre ministère et ce, au détriment de l’égalité des chances de tous les lycéens sur le territoire ? De nombreux collègues enseignants sont inquiets aussi pour le devenir de l’option lourde qui s’adresse uniquement aux littéraires et qui, à présent, ne peut se choisir qu’en 1ère ! Les problèmes d’effectifs sont réels face à la toute puissance de la filière S !
Or, nous devons toujours garder présent à l’esprit que, si l’enseignement de notre discipline se raréfie au lycée, c’est problématique pour le collège et aussi pour l’enseignement supérieur en faculté ! Nous sommes tous concernés !
L’APÉMu s’est aussi associée cette année aux inquiétudes et revendications des formateurs des PE ! La musique y est réduite à sa portion congrue dans certaines académies ! Les heures de formation ont diminué comme neige au soleil, or, il est très important que l’éducation musicale reste visible dans toute formation de professeur des écoles. Pour construire des projets autour de la musique et pour l’éducation musicale à l’école primaire, le premier interlocuteur et passeur de musique demeure le professeur d’école, encore faut-il qu’il soit dignement et correctement formé ! Comme pour le lycée nous devons nous préoccuper de la façon dont notre discipline est enseignée à l’école primaire, il en va de notre crédibilité tout au long de la scolarité de l’élève.
Cette année, dans le bulletin, beaucoup d’entre vous ont proposé des séquences sur les nouveaux programmes, il faut poursuivre ce fil rouge, je pense, c’est une bonne chose pour nos adhérents et pour l’image de l’association. L’appropriation de nouveaux programmes est un long cheminement ainsi que celui de l’histoire des arts avec une épreuve au brevet des collèges qui s’est généralisée cette année. Beaucoup d’entre vous m’ont fait part de leur scepticisme vis-à-vis de l’organisation et la mise en place de cette épreuve mais aussi, pour certains, de leur enthousiasme à travailler en interdisciplinarité avec d’autres matières et voir le fruit de leur travail évalué lors d’une épreuve orale d’un examen national.
Face à la multiplicité des formes d’évaluation certaines académies ont émis des lettres de cadrage pour 2012 et le déroulement de l’épreuve. Je crois aussi que la plupart d’entre nous se sont approprié les piliers du socle et leur évaluation. La présence de l’éducation musicale pour la validation de certains items montrent à nos collègues, qui pour la plupart découvrent nos pratiques que nous avons des évaluations pertinentes sur les compétences des élèves même si des ajustements sont encore à venir.
Echanger sur nos pratiques, communiquer demeurent toujours des enjeux importants pour notre association. Mais pour cela il faut au moins un délégué APÉMu par académie, voir département, or nous manquons cruellement de délégués dans certaines académies. Je crois que c’est un sujet à aborder au prochain CA de façon approfondie et à surveiller tout au long de l’année prochaine.
Une association, c’est aussi le renouvellement de ses membres et de nouveaux adhérents qui se reconnaissent en l’APÉMu. Le nombre d’adhérents semble cette année repartir à la hausse, faisons-nous connaitre. Le renouvellement du site qui a commencé est un bon moyen pour changer les choses mais ce n’est sûrement pas le seul.
Il y a notre investissement personnel, ce que chaque adhérent peut apporter en faisant connaître l’association autour de lui. Bougeons-nous ! et lors de journées de stage, de formation sur la didactique de la discipline demandons à prendre la parole pour communiquer sur l’APÉMu, son fonctionnement, ses enjeux, sa finalité ! Informons nos jeunes collègues, stagiaires ou professeurs fraîchement nommés de l’existence de l’APÉMu !
En mars dernier, suite à un courrier alarmiste de notre part adressé au ministre M Luc Chatel, sur le devenir des chorales de collège, l’APÉMu a été enfin reçue au ministère pour évoquer nos préoccupations de vive voix :
- l’inégalité des pratiques chorales en collège sur l’ensemble du territoire
- les DGH réduites qui incitaient les chefs d’établissement à supprimer ce qui n’était pas un enseignement obligatoire
- le statut incertain et mal défini des pratiques chorales
- la rémunération très variable de ces heures suivant les académies et les établissements.
- De plus en plus d’enseignants sont sur deux, trois établissements, voire des vacataires, dans ces conditions la chorale reste difficile à assurer quand les heures sont proposées !
M. Muller nous a affirmé que la pratique chorale devait être assurée dans chaque collège voire école primaire, que le ministre y tenait, alors nous avons réclamé un texte écrit qui mette en exergue reconnaisse et valorise l’importance de ces pratiques collectives dans la formation de l’élève en tant que futur citoyen !
L’allusion aux pratiques chorales dans la circulaire nationale de rentrée ainsi que le texte paru au BO du 22 septembre 2011 officialisent en quelque sorte le chant choral dans nos missions et nos pratiques de professeur d’éducation musicale et c’est important pour nous !
Comme il est important que les postes au concours soient pourvus et les candidats au Capes d’éducation musicale plus nombreux à se présenter. L’année 2011 a été catastrophique ! Plus de 30% des 120 postes au concours n’ont pas été pourvus, ce qui veut dire plus de 2500 élèves demeurent sans professeur certifié d’éducation musicale et chant choral !!! Cette situation nous interpelle tous et demeure pour nous problématique. Notre discipline requiert de nombreuses compétences transversales et une spécialisation longues à acquérir ! L’APÉMu doit aussi s’interroger sur ce sujet ô combien essentiel au devenir et à la survie de notre discipline. Les clichés ont la vie dure, la musique à l’école n’est pas « une cacophonie » comme certains journalistes le prétendent encore faut-il recruter de nombreux « hussards de la république », (en allusion à un article polémique de Télérama) pour l’enseigner dignement ! L’APÉMu ne manquera pas dans les prochains mois d’interpeller les candidats sur le recrutement et la formation de nos jeunes collègues au métier difficile et passionnant qui est le nôtre !
Je finirai ce rapport en vous remerciant tous pour votre engagement, votre enthousiasme, vos réflexions, échanges et aussi coups de gueule tout au long de l’année. L’APÉMu doit rester active et cela dépend de nous tous !
La présidente
Yolande Barbier-Ceresuela
Actualités :
Grande enquête sur l'évolution du métier de professeur d'éducation musicale
De retour de progrès :
Improviser en lycée (Marie-Françoise Quinet)
Atelier avec Morton Potash (Hélène Wagner)
La fanfare de la Touffe (Maïté Adam-Ouret)
Séquence "copier c'est voler ?" (Equipe du Cantal)
Lecture : quand l'école prétend préparer à la vie (Fernando Segui)
Vie de l'association :
Rapport moral, rapport financier
Compte rendu du CA
Rencontre avec Vincent Maestracci, IGEN
Membres élus au CA, membres du bureau
Délégués régionaux